ON EST TOUS DIFFERENTS2010-10-03RECTIFICATIF : C'est pas vrai je me suis encore trompé de nom ce n'est pas Aude ceci dit je me souviens d'un Hains furieux qui me disait : c'est pas possible ils n'ont rien compris il faut dire que RAYMOND ne trouvait du sens nulle part INDIVIDUS FAROUK Sympathique, gentil 8 sur 10 beau chapeau parle fort on me dit ce n'est pas de sa faute, ça vient du Levant INDIVIDUS MAX HORDE Expose à la Galerie 59 Rue de RivolIi. un artiste cactus on ne sait pas comment l'attraper de toute façon quoiqu'on dise il envoie des pointes. Il a du se débattre dans son enfance. INDIVIDUS JEAN NOEL FLAMMARION Nonchalance 8/10 Beauté physique 6/10 Sourire 8/10 Roule dans la farine 7/10 Flammarion use de son charme INDIVIDUS RAPH Je le rencontre je lui dit « bonjour » il me répond : qu'est-ce que tu veux dire par bonjour ? INDIVIDUS COMBAS Combas est devenu une icône. On le reconnaît de loin. Le jour où il y en aura trop partout il y aura risque d'indigestion pour le moment il se met à la chanson il a raison moi aussi j'ai envie de chanter le blues comme Arno l'art m'angoisse . me répéter m'angoisse L'argent m'angoisse La famille m'angoisse Je ne sais pas d'où vient que tout m'angoisse autant. Partir pour Moscou m'angoisse INDIVIDUS SOPHIE GOUPIL est elle une charmeuse de poissons Poissons volants ou poison volant ? J'ai une carte postale d'un aquarium que Marcel Duchamp m'a envoyée avec le jeu de mots : le poison et dans le poisson. INDIVIDUS TEMPLON Ce que les gens ne savent pas c'est qu'il est spécialiste en musique Il adore l'opéra et la grande musique INDIVIDUS DENIS VALODE Reçu « la nature de l'architecte » je ne l'ai pas lu... trop culturé ceci étant, j'ai ramassé l'autre jour une pomme de pin par terre et je veux la proposer comme maquette pour un 'immeuble tournant au soleil INDIIVIDUS SPARK Spark un mélange de Combas et Vilekovitch 4/10 INDIVIDUS LOEVENBRUCK (entendu au bistro ) avec l'argent qu'il a gagné avec les Mayaux et avec les sous-Ben de Labelle-Rojoux et les Bruno Peinado (encore un qui court après le prix Marcel Duchamp) il s'est payé un nouvel espace. INDIVIDUS FREDERIC MITTERRAND Frédéric Mitterrand un jacobin déguisé en girondin son côté ego ne me gène pas cela est naturel mais vouloir chanter en niçois et refuser la charte deslangues minoritaires c'est se contredire INDIVIDUS DANIEL SPOERRI ne s'arrête pas il a des bons assistants on sent une nouvelle jeunesse INDIVIDUS DANIEL BUREN Daniel Buren me donne l'impression de ne plus savoir quoi faire ( comme moi ) INDIVIDUS NICE : MORINI A TOURRETTES S/LOUP J'ai préféré l'expo de Carros. François son fils fait une fixation sur son père. C'est compréhensible. J'ai acheté un petit dessin. Il est un peu injuste envers les gens qui n'aiment pas la peinture de son père comme si c'était interdit de ne pas l'aimer INDIVIDUS DIDIER BRISSON m'a envoyé une photo qui me rappelle Cartier Bresson. Ça rime INDIVIDUS BIASCAMANO DE SETE m'a envoyé un DVD de lui en train de parler il vas bientôt faire un discours au Musee Av INDIVIDUS PHILIP CORNER (Fluxus) Reçu de Philip Corner deux carnets remplis d'originaux sur chaque page un texte magnifique écrit à la main En voici les douze premières pages don't look at me that's enough look at me but it's not enough the past that's you go back / you life is everywhere death is temporary art is staying alive no art is dying maybe staying alive is an art to find a solution, light up etc INDIVIDUS MATSUTAMI Reçu le catalogue de Matsutami un vrai catalogue de quelqu'un qui croit en l'art et cherche Matsutani me dit qu'il connaît une galerie qui aimerait m'exposer à Paris, la galerie Akié Arichi. pourquoi pas ? j'ai toujours aimé le travail de Matsutami. INDIVIDUS THIERRY EHRMANN se bat bien. On peut maintenant visiter l'antre de la maison du chaos et voir toutes les belles secrétaires qui lui obéissent au doigt et à l'oeil. INDIVIDUS ANNA Elle arrive à Nice le 5 octobre après avoir fait une tournée européenne de performances etc on est censés, à mon retour de Moscou commencer un film. Voici quelques notes pour mon film FILM POUR POULVORDE On monte les marches à Cannes on tue les gens en smoking Réplique "récupère les noeuds papillons ça peut servir." Séquence dort sur son fauteuil : gros plan sur ma tête, je ferme les yeux j'ouvre les yeux et il y a une tête qui me dit "donne moi cette caméra ou je te casse la gueule". Séquence 2 sur mon fauteuil je ferme à nouveau les yeux je me retrouve dans un film porno 10 secondes Séquence3 sur mon fauteuil je ferme les yeux je me retrouve dans un film avec Fellini Je ferme les yeux je me retrouve avec John Wayne. etc INDIVIDUS CHABROL EST MORT déprime cette nuit. Je n'arriverai jamais à faire mon film. 75 ans c'est trop tard. Et Chabrol qui en a fait 53 ! Pourquoi n'ai-je pas eu le courage de dire merde à tout le monde et de le faire ? INDIVIDUS JEROME MAIGRET M'ECRIT par rapport à Beaux Arts magazine qui t'égratigne "Je ne suis pas du tout d'accord avec cet article ! je pense que Ben a toujours quelque chose à dire en 2010 en bonne continuité de ces nombreuses années de travail. Je suis le premier à m'agacer si un artiste vieillit mal mais vous concernant je sais que ce n'est pas du tout le cas; votre liberté assumée les agace, vous êtes pour ces gens une sorte de bombe incontrôlable et peu soucieuse des convenances auxquelles ils sont habitués mon avis : ne changez rien pire : continuez de plus belle.." INDIVIDUS LE GUILLERM DANS LA TRANSVERSALITE J'expose à Saint Jean de Monts avec La Transversalité Le Guillerm fabrique les tableaux des autres à partir du numérique et je me demande si c'est un vrai ou un faux de moi qui est exposé. INDIVIDUS MICHEL FRAILE m'a apporté deux flippers, il voudrait que j'en décore un, en échange de l'autre, je veux bien, mais j'aimerais que celui qu il ma donné marche d'abord j'aime bien son ours blanc... INDIVIDUS ARMAN AU CENTRE POMPIDOU (suite) je n'aurais pas mis la chaise sur le carton l'invitation mais une simple accumulation ou une colère. Un jour j'écrirai un texte sur l'importance d'Arman car il a beaucoup compté pour moi et quoi qu'on en dise, pour la création à Nice FLUXUS A MOSCOU Je pars après demain pour Moscou pour aider avec Eva et Ludo à accrocher l'expo Fluxus du Passage de Retz mise en place par Olga Sviblova et Bernard Blistène Olga très sympathique me fait savoir « Ne vous faites pas de soucis il y aura 15 pianos à casser » Un peu inquiet j'espère que je vais pas me trouver à devoir casser des pianos en siberie dans un goulag culturel Russe. VOICI DEUX ARTICLES DE J.-L. CHALUMEAU . QUE JE TROUVE BIEN PARCE QUE FACILES A COMPRENDRE J'ESPERE QU'IL SERA PAS FACHÉ QUE JE LES REPRODUISE INDIVIDUS NICOLAS BOURRIAUD ? Qui est Nicolas Bourriaud ? Nicolas Bourriaud vient d'être nommé chef de l'Inspection générale de la création artistique au ministère de la culture. Or ce critique d'art âgé de quarante-cinq ans n'est pas un fonctionnaire de carrière ; pour accéder à ce poste prestigieux, il n'a pas fait l'ENA, pas plus qu'il n'est passé par les postes d'inspecteur et d'inspecteur principal de la création : qui est-il donc ? Disons que Nicolas Bourriaud réunit deux qualités rares : il est un homme d'action en même temps qu'un véritable théoricien. Commissaire d'expositions exceptionnellement doué, il a créé l'événement à la Biennale de Venise en 1993 en organisant l'Aperto à l'âge de 28 ans. Il a co-dirigé le Palais de Tokyo (avec son condisciple à l'Icart Jérôme Sans) avant d'être chargé par la Tate Britain de la responsabilité de la Tate Triennal 2009. J'en passe, mais tout cela n'est pas essentiel. L'essentiel chez Nicolas Bourriaud, comme l'a écrit Marie Muracciole dans la revue Critique d'art, c'est qu'il restera à jamais l'inventeur de l'Esthétique relationnelle, ouvrage paru en 1998 qui l'a placé d'emblée parmi les théoriciens de l'art d'envergure internationale, dont les textes sont souvent publiés d'abord en anglais. De qui, en France, peut-on en dire autant ? Je ne vois que deux grands disparus, Pierre Restany et Bernard Lamarche-Vadel, qui justement ont tous deux été ses modèles. Avec ses livres suivants, Formes de vie en 1999, Postproduction en 2001, Radicant en 2009, il a décrit l'art de son temps comme " une table de montage alternative du scénario de la réalité " sur laquelle les artistes qu'il a repérés s'attachent aux codes et aux récits qui composent notre actualité, dont certains proviennent du plus lointain passé ". Lui-même serait le critique assez cultivé pour composer ses textes sur une table de montage, où se rejoignent le " nouveau paradigme esthétique " de Félix Guattari qui reprenait lui-même la proposition de Michel Foucault de faire de sa vie un " objet esthétique ", et aussi l'invention du quotidien selon Michel de Certeau et encore Gilles Deleuze ou Pierre Bourdieu (qui considérait le monde de l'art comme un " espace de relations objectives entre des positions "). Aujourd'hui, Nicolas Bourriaud annonce un mouvement altermoderne (par opposition au post-moderne) qui sera " radicant ", tel le lierre qui développe des racines adventices, en se démultipliant. Il étudie aussi avec passion l'apparition d'un nouveau mode formel qu'il appelle la " forme trajet "... Bref : curieux de tout, acteur engagé dans l'évolution de l'art de son temps, il en est devenu l'un des témoins capitaux, un témoin sans parti pris et sans esprit sectaire, quoi qu'en pensent ceux qui ne l'ont pas lu. J'aime citer de mémoire une phrase de lui qui m'avait frappé dans les années 90, alors que la bataille faisait rage entre " pro " et " anti " art contemporain : " Il y a deux sortes d'imbéciles, ceux qui n'aiment pas la peinture, et ceux qui n'aiment que la peinture ". Pas mal envoyé, non ? J.-L. CHALUMEAU . INDIVIDUS ARMAN PAR J.-L. CHALUMEAU . La consécration d'Arman L'actualité d'Arman, c'est bien sûr la grande exposition que lui consacre le Centre Pompidou à partir du 22 septembre, mais c'est peut-être aussi celle de sa pensée, notamment à propos de la situation de la France sur l'échiquier international de l'art. On sait que ce niçois avait choisi de devenir américain : je me souviens notamment avoir éprouvé un petit pincement au coeur en voyant mentionné sur le cartel accompagnant une oeuvre d'Arman à la Tate Gallery la mention « american artist ». Il assumait complètement ce choix, et je l'entends encore me dire, en 1989 à Paris : « j'aurais refusé d'aller vivre aux Etats-Unis si cela ne m'avait pas plu. Je n'ai pas le caractère à m'embêter pendant vingt-huit ans dans un endroit que je n'aime pas ! La vérité, c'est que je suis tombé amoureux de New York. Je ne vivais pas à Paris jusque là, mais à Nice : c'est à l'occasion d'une exposition chez Daniel Cordier en 1961, à New York, que j'ai décidé de rester. » Il est vrai qu'Arman avait commencé son histoire d'amour avec la grosse pomme dès l'année précédente, en la « signant » en bas et à droite, dans le Lower East Side : n'était-elle pas une gigantesque « accumulation », donc un authentique Arman ? Je lis déjà dans la presse certaines réserves à propos d'Arman qui ne serait pas un véritable artiste parce qu'il aurait accepté très vite, dès la renommée assurée, de démultiplier ses oeuvres quasiment à l'infini, inondant le marché de copies d'Arman par lui-même. Là aussi, il n'avait pas de peine à répondre il y a plus de vingt ans : « J'ai beaucoup aimé un film de Vittorio de Sica, Le Général della Rovere, dont le héros est un bidonniste, un escroc, et qui finit comme un héros. L'artiste, à ses débuts, est toujours un peu un escroc : il ne donne rien en échange de ce qu'il demande. Il veut déjà jouer le rôle de l'artiste dans la société. Avec un peu de chance, il finira comme le général della Rovere, en devenant vraiment ce qu'il prétendait être, mais qu'il n'était pas encore ». L'exposition du Centre Pompidou, dont il rêvait, va permettre de prendre la mesure réelle d'Arman, celle de l'un des plus importants artistes du XXe siècle. Un homme capable par ailleurs de prévoir, dès1989, le retour de Paris au premier rang des capitales mondiales de l'art. « Je constate que cette ville est redevenue incontournable. Elle reste géographiquement irremplaçable. La scène a pu être occupée quelques temps par de jeunes artistes de la transavantgarde italienne ou de l'expressionnisme allemand, mais cela ne change finalement rien au fait que Paris est la plaque tournante de l'art international? C'est Paris qui est l'endroit de la consécration. » Pour Arman, il aura fallu attendre 2010 pour que la véritable consécration advienne, et c'est en effet Paris qui la lui donne en lui permettant enfin d'apparaître comme celui qu'il prétendait être. J.-L. C. 16-09-201 LU SURLE NET Le travail d'Esther Ferrer s'inscrit dans un minimalisme très particulier que l'on pourrait définir comme "la rigueur de l'absurde". Elle dit, mais seulement quand on le lui demande, que la performance est l'art de l'espace, le temps et la présence. La performance est encore aujourd'hui sa principale activité, même si elle expose régulièrement son travail plastique (photographies, installations, objets, tableaux basés sur la série des nombres premiers ou Pi). En 1999 elle représente l'Espagne lors de la Biennale de Venise et reçoit en 2008 le prix National des Arts Plastiques espagnol. VOICI TROIS REPONSES AUTOMATIQUES RECUES A MA NEWSLETER COMPOSÉE DE MILLIERS DE 000000000 Madame, Monsieur, Nous vous remercions d'avoir envoyé votre article aux pages Débat du Monde et de votre fidélité à notre journal. Pour des raisons de place, de rapidité et si votre texte est sélectionné, Le Monde propose désormais aux auteurs - sauf en cas d'opposition explicite - de publier leur point de vue soit dans les pages du quotidien, soit sur notre site Internet, premier site d'information francophone avec quelque 1,5 million de visites quotidiennes, au choix de la rédaction. Madame, Monsieur, Votre message intitulé "[Newsletter Ben] salade niçoise" nous est bien parvenu. Celui-ci sera traité par le ou les services compétents dans les plus brefs délais. Vous voudrez bien impérativement préciser votre adresse postale. Dans le cas d'une demande d'acte d'état-civil, merci de préciser également la filiation (nom du père et de la mère). Cordialement, Les Services Municipaux. Marcel Alocco <alocco@wanadoo.fr> Ne sois pas parano Tout le monde s'en fout de tes positions politico-folkloriques... tu es un S. Dali, pas un Charles De Gaulle... Dans l'informatique il y a toujours des bidules qui bidouillent ça bloque, et ça débloque et ça bloque quand ça débloque... C'est quoi le colloque sur Fontan ? Où, quand, comment ? Qui sont les gens compétents pour en parler ? Toi ? qui était plutôt hostile à beaucoup de ses positions ? M. RECU SUR MON MAIL Le Canard Enchaîné" a exhumé des correspondances de Gustave Flaubert cette lettre datée du 12 juin 1867, et adressée à George Sand. Je ne résiste pas au plaisir de la retranscrire. Sans commentaire. Pace è Salute ! "Je me suis pâmé, il y huit jours, devant un campement de Bohémiens qui s'étaient établis à Rouen. - Voilà la troisième fois que j'en vois. -- Et toujours avec un nouveau plaisir. L'admirable, c'est qu'ils excitaient la Haine des bourgeois, bien qu'inoffensifs comme des moutons. Je me suis fait très mal voir de la foule en leur donnant quelques sols -- Et j'en ai entendu de jolis mots à la Prud'homme Cette haine-là tient à quelque chose de très profond et de complexe. On la retrouve chez tous les gens d'ordre. C'est la haine que l'on porte au Bédouin, à l'Hérétique, au Philosophe, au solitaire, au poète. -- Et il y a de la peur dans cette haine. Moi qui suis toujours pour les minorités, elle m'exaspère." PS JE VAIS DANS MA LETTRE SUR LES ETHNIES DONNER MA POSITION PAR RAPPORTAUX ROMS INDIVIDUS BEN BEN SUR BEN Je prépare pour mon expo à Bruxelles une série de tableaux d'art contemporain pour les pauvres le Kandinsky du pauvre le César du pauvre le Mondrian du pauvre le Lavier du pauvre ETC ETC ETC BEN A LA SALPETRIERE J'ai décoré le couloir alzheimer Je suis invité à l'inauguration Je suis angoissé, je ne sais pas quoi répondre. C'est le 24 Septembre Hélas c'est un jour difficile pour y aller. Voici les textes que j'ai fait mettre aux murs. - oublions d'oublier - je ne perds pas la mémoire c'est la mémoire qui me perd - je ne sais pas où j'ai mis mes clefs mais il n'y a plus rien à fermer - trou de mémoire - ma mémoire est une passoire - je voyage chaque jour - oublier est art - si j'oublie c'est que c'est sans importance - il ne faut pas avoir peur d'oublier - oui mais à propos qui suis-je ? BEN A ROME Je prépare une expo à Rome organisée par Alibrandi de Florence. BEN A BRUXELLES CHEZ OBADIA Tres bel espace j'hesite comme titre entre Panniquez pas Et » je ne comprends pas « je ne comprends comment tout est devenu art contemporain je ne comprends pas pourquoi j'ai grossi je ne comprends pas pourquoi je continue a faire de l'art je ne comprends pas pourquoi j'ai envie de faire l'amour avec annie dans un hotel louche la porte ouverte je ne comprends pas pourquoi il faut donner Bruxelles au congo je ne comprends pas quelles sont les limites de l'art je ne comprends pas si ne pas faire de l'art est de l'art ? je ne comprends pas pourquoi mon texte important pour le colloque sur les idees de Fontan sur les ethnies peuples et langues n'est pas encore pret BEN ET LA RETRAITE J'ai 75 ans Et bien que j'ai cotisé depuis l'age de 19 ans je ne touche pas de retraite j'ai envie de continuer de travailler encore 10 ans et de prendre ma retraite à 90 ans Ceci étant je ne travaille pas dans les mines. Et je comprends celui qui veut avoir sa retraite à 60 ans Pour commencer une autre vie. NICE CULTURE Villa Cameline Une expo de groupe. Je n'ai pas bien compris le thème mais j'aime bien ce qui se passe à la Villa Cameline. J'aime leur maison avec la baignoire au premier étage. Les femmes étaient très belles mais il n'y avait pas beaucoup de vin. Madame Flinkers était resplendissante. Je me demande si la bibliothèque dans la pièce de gauche est une oeuvre d'art ou une vraie bibliothèque. Maintenant on ne sait plus ce qui est art ou pas. Des enfants ont tiré la chasse d'eau sur l'oeuvre avec le sable. |