L'immigration (1980-1998)

Tout le monde parle "d'immigration" alors voici mon point de vue. Les peuples existent. Je suis donc contre les notions de assimilation l'intégration quand le resultat est une politique d'acculturation d'un peuple par un autre. Il n'y a jamais eu d'exemple ou des groupes d'individus quel qu'il soien t ait de quitté leurs pays pour aller vivre dans un autre sans avoir etaient poussé par la faim, l'oppression, l'avidité ou des circonstances contraignantes Il n'y a pas de peuple qui n'aime pas son pays, sa culture. Il n'y a que des peuples qui sont obligés de quitter leur pays parce que ce pays ne leur apartient plus et qu'ils n'ont plus les moyens d'y vivre décemment.
La seule et unique solution est de de de permettre la création ld'une situation positive pour que tout homme puisse pouvoir rester heureux sur le territoire de son peuple ;c'est-à-dire qu'il faut pour cela qu'il soit maître de son territoire et de son destin économique.

L'immigration (Ben 1980)
L'immigration c'est la rencontre de populations ayant des cultures et des identités différentes. Dans la mesure où l'ethnisme reconnaît le droit inaliénable à toute population d'être maîtresse de son identité, de sa culture et de sa langue,sur son territoire ehnique l'arrivée et l'installation d'une population appartenant à une culture, sur le territoire d'une autre culture crée, dans certaines circonstances,(le nombre ) des problèmes graves. Chercher à le nier sous prétexte que tous les hommes seraient frères est une erreur
La solution aux problèmes que soulève l'immigration nécessite de discuter à partir de la réalité des peuples, des cultures, des langues, des territoires. pour cela Il faut au minimum au départ se mettre d'accord sur
ce qu'est un peuple, sur ce que veut dire une identité, une culture ? et Ensuite seulement on pourra répondre aux questions :
quel est le pourcentage d'individus d'une culture qu'un peuple d'une autre culture peut recevoir sur son territoire sans mettre en danger son identité
On ne peut traîter du probléme de l'immigration d'une façon unique et globale et, bien que dans presque tous les cas, on trouve certaines constantes par exemple l'angoisse de la perte de l'identité, etc ., les probèmes et les solutions issus de l'immigration sont différents selon chaque cas .

L'immigration des Mexicains au Texas,
L'immigration des Ethnies jaunes en Australie,
L'immigration des Juifs de l'U.R.S.S. vers NEW YORK, ou Israël
L'immigration des Turcs à Berlin,
L'immigration de l'Assam,
L'immigration des Pieds Noirs en Corse,
L'immigration des blancs en Amérique.
Chacune de ces situations est un cas particulier et nécessite une analyse distincte.

Dans le cas des Chicanos c'est-à-dire de l'immigration hispanique au Texas l'ethnisme aurait tendance à la considérer comme justifiée car le Texas était hispanique et a été conquis par les Américains sous des prétextes fallacieux (Fort Alamo). Il y aurait alors revendication légitime des hyspaniques sur ce territoire.

L'immigration Arabe en France, est à analyser différemment selon que cette immigration se passe à Bourges ou à Marseille car en ce qui concerne la population Marseillaise elle subit une double frustration ayant perdu son identité occitane, ayant dû adopter l'identité Française dans laquelle, il faut le reconnaître elle se sent inconsciemment mal à l'aise, elle comprend mal et ressent à fleur de peau l'immigration Arabe. Le "nous sommes chez nous ici" bien qu'adressé aux Arabes est un fait un cri "où sommes-nous chez nous ? qui sommes nous ? " et s'associe au désir frustré de s'accrocher à une identité.
Ils iront donc naturellement vers Le Pen, puisque les autres partis représentent le pouvoir central parisien

Immigration jaune en Australie
Le problème est encore différent. C'est un territoire vierge, peu peuplé, qui doit rester ouvert à l'immigration des peuples se trouvant sur des territoires en situation de surpeuplement.

Immigration ou assimilation
Dans le passé et dans beaucoup de cas, immigration et assimilation allaient de pair.
Il n'est pas certain que ça soit le cas aujourd'hui.

Retour